1. Finalement, désolée, pas de photos de la place Stanislas. Je suis bien allée à Nancy mais seulement deux jours, où j'ai travaillé comme une sourde pour éplucher dix mètres linéaires de fonds d'archives, ce qui ne m'a laissé qu'assez peu de temps pour faire du tourisme. Temps d'autant plus limité que j'ai été malade comme un vieux clébard et que mes pauses déjeuner ont donc été consacrées essentiellement au trouvage d'une pharmacie, et non au photographiage de trucs mentionnés par le Guide Bleu.
2. J'ai eu la grippe. Je dis ça en m'excusant auprès des personnes que j'ai pu côtoyer ces derniers jours. J'espère que je ne les ai pas trop contaminés. Promis, si j'avais su, je me serais planquée. J'espère qu'ils vont bien - ou alors, qu'ils ne m'en veulent pas trop.
3. Verdict : la place Stanislas sous la neige, c'est là qu'on comprend l'expression "luxe, calme et volupté". Sinon, j'ai pas vu le palais ducal. J'ai pas vu la cathédrale. J'ai pas vu le parc zoologique. La loose.
4. Vous avez remarqué comment "sujet tabou", maintenant, ne veut plus du tout dire ce qu'il veut dire au départ ("dont on ne parle pas", en gros), pour signifier "sujet dont on parle partout afin de déclencher des polémiques plus ou moins inutiles" ?
5. Ratage complet de la journée. J'ai voulu terminer du riz qui traînait là. J'ai voulu faire un gâteau de riz au caramel. Evidemment, il a fallu que je me rende compte trop tard que les oeufs étaient périmés, et puis de toute façon, mon gâteau ne ressemble à rien, si ce n'est un tas de riz gluant. J'ai même pas osé le goûter. C'est pas que je craigne la salmonellose (il s'est quand même fait un quart d'heure dans un four à 200 °C, alors les salmonelles, y'en a plus beaucoup), mais avoir gâché autant de sucre et de crème pour ça me coupe l'appétit d'avance. Snif.
6. C'est moi où les gens sont bizarres ? Je demande, parce que l'autre jour dans le train, j'entendais une fille manifestement très angoissée, qui demandait à sa voisine "comment tu fais, toi, pour les fêtes ? Moi c'est l'angoisse, je vais encore grossir, je sais pas comment faire !". Je lui aurais bien dit "euh, bouffer normalement, ça devrait suffire, non ?" mais sa copine lui a servi un savant discours sur le mode "les marrons, c'est moins gras que les pommes dauphines" - ce que je veux bien croire. Ce qui m'intrigue, c'est que la réponse la plus simple ne soit jamais celle mise à l'honneur.
2. J'ai eu la grippe. Je dis ça en m'excusant auprès des personnes que j'ai pu côtoyer ces derniers jours. J'espère que je ne les ai pas trop contaminés. Promis, si j'avais su, je me serais planquée. J'espère qu'ils vont bien - ou alors, qu'ils ne m'en veulent pas trop.
3. Verdict : la place Stanislas sous la neige, c'est là qu'on comprend l'expression "luxe, calme et volupté". Sinon, j'ai pas vu le palais ducal. J'ai pas vu la cathédrale. J'ai pas vu le parc zoologique. La loose.
4. Vous avez remarqué comment "sujet tabou", maintenant, ne veut plus du tout dire ce qu'il veut dire au départ ("dont on ne parle pas", en gros), pour signifier "sujet dont on parle partout afin de déclencher des polémiques plus ou moins inutiles" ?
5. Ratage complet de la journée. J'ai voulu terminer du riz qui traînait là. J'ai voulu faire un gâteau de riz au caramel. Evidemment, il a fallu que je me rende compte trop tard que les oeufs étaient périmés, et puis de toute façon, mon gâteau ne ressemble à rien, si ce n'est un tas de riz gluant. J'ai même pas osé le goûter. C'est pas que je craigne la salmonellose (il s'est quand même fait un quart d'heure dans un four à 200 °C, alors les salmonelles, y'en a plus beaucoup), mais avoir gâché autant de sucre et de crème pour ça me coupe l'appétit d'avance. Snif.
6. C'est moi où les gens sont bizarres ? Je demande, parce que l'autre jour dans le train, j'entendais une fille manifestement très angoissée, qui demandait à sa voisine "comment tu fais, toi, pour les fêtes ? Moi c'est l'angoisse, je vais encore grossir, je sais pas comment faire !". Je lui aurais bien dit "euh, bouffer normalement, ça devrait suffire, non ?" mais sa copine lui a servi un savant discours sur le mode "les marrons, c'est moins gras que les pommes dauphines" - ce que je veux bien croire. Ce qui m'intrigue, c'est que la réponse la plus simple ne soit jamais celle mise à l'honneur.