Depuis quelques mois, un individu dont la pensée atteint des sommets philosophiques, couvre les murs de la Sorbonne de ses aphorismes délicats. Probablement échauffé par le mouvement de grève contre la réforme de l'enseignement - je n'exclus pas non plus un besoin d'extérioriser sa révolte contre Fayard qui lui a refusé la publication de son manuscrit, il nous régale jour après jour de sa pensée.
L'homme a le sens du distique et de la formule, voir parfois de la rime. Je pense qu'il a également lu le Seigneur des Anneaux, et qu'il s'essaie à l'écriture elfique, d'où les délicates arabesques ponctuées que vous observerez.
Le poids des mots, le choc des photos (prises dans l'escalier C de la Sorbonne, pour ceux qui connaissent, c'est quand on va préparer sa colle d'histoire à la bibliothèque Lavisse).
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Soyez gentils, faites l'effort de signer votre message - ne serait-ce que dans le corps d'icelui, si vous ne voulez pas remplir les champs destinés à cet effet - c'est tellement plus agréable pour ceux qui les lisent...